Des conflits, du courage et une équipe qui défie les attentes : c’est l’univers dramatique de La Fièvre, ce soir sur Canal+ !
Dans le monde du football, un simple geste peut déclencher une tempête médiatique révélant les tensions d’une nation. La Fièvre, la dernière Création Originale de Canal+, vous invite à découvrir les enjeux qui dépassent le terrain de jeu. Sous la direction d’Eric Benzekri, cette série dramatique met en lumière les personnages complexes et les intrigues captivantes qui se déroulent dans une France contemporaine au bord du chaos.
De quoi parle La Fièvre ?
La série propose une intrigue captivante qui se déroule dans un contexte contemporain, où un incident en apparence mineur lors de la remise de prix du football français déclenche une série d'événements aux conséquences dramatiques pour la société.
L'histoire commence avec Fodé Thiam, une star du football français, qui commet un geste violent envers son coach, l’insultant de « sale blanc » lors de la cérémonie. Cet incident déclenche une crise médiatique et sociale qui dépasse rapidement le cadre du monde du football. François Marens, président du club, se retrouve à gérer une situation explosive et fait appel à une équipe de communicants pour contrôler les dégâts.
Des personnages complexes et nuancés
Au cœur de cette intrigue palpitante, nous retrouvons une équipe de communicants dirigée par Sam Berger, incarnée avec brio par Nina Meurisse. Spécialisée en analyse sociologique, Sam décèle rapidement les signaux alarmants d'une société au bord de l'implosion.
Aux côtés de François Marens, interprété par Benjamin Biolay, elle tente de contenir une crise aux proportions démesurées. Mais c'est sans compter sur l'ombre menaçante de Marie Kinsky, jouée par la talentueuse Ana Girardot. Ancienne collaboratrice de Sam.
Avec un casting solide et des dialogues ciselés, Eric Benzekri nous livre une œuvre d'une authenticité troublante, où fiction et réalité se confondent avec une justesse saisissante.
Un seul objectif : limiter l’impact du scandale ! #LaFièvre, avec Nina Meurisse, Ana Girardot, Benjamin Biolay, Alassane Diong, dès lundi, seulement sur CANAL+. pic.twitter.com/WY5J3tJ1kb
— CANAL+ (@canalplus) March 15, 2024
Une série aux résonances universelles ?
Au fil des épisodes, La Fièvre nous confronte à nos propres démons, à travers le prisme du football et des médias sociaux. Eric Benzekri, fin connaisseur du milieu politique, explore avec finesse les rouages du pouvoir et les manipulations de l'opinion publique. Et s’il a choisi le football pour présenter ses idéaux, ce n’est pas par hasard.
« J'ai 50 ans, en 1998 j'en avais 25, et c'était la France Black Blanc Beur. Je considère que depuis il y a eu une petite évolution dans la vision qu'on porte sur le caractère rassembleur de ce sport. Mais surtout, je voulais raconter, comment à travers le foot, on a une lecture de la société », a-t-il déclaré à CinéSerie.
Cette œuvre puissante et percutante résonne bien au-delà de nos frontières, comme en témoigne le réalisateur Ziad Doueiri. « Peut-être que pour vous, La Fièvre est une série qui représente la France, parce que ça se passe en France. Mais ce qui était très touchant pour moi, c'est que son sujet ne s'applique pas seulement à ce pays, mais partout. Je pourrais transposer cette histoire au Liban ou aux États-Unis. Ça dépasse les frontières ».
Rendez-vous donc la première saison de La Fièvre composée de six épisodes en exclusivité sur Canal+.