La plateforme au N rouge s'apprête à vider son catalogue, de nombreux programmes vont céder leur place et parmi eux se trouve 50 nuances de Grey.
Les abonnés de Netflix sont habitués à voir arriver chaque mois des nouveautés dans leur catalogue, mais fréquemment, elle procède à la suppression de certaines productions. Une manière de nettoyer la plateforme et se renouveler. Ce mois de mai, le géant du streaming envisage de retirer plus d'une soixantaine de films et séries, et malheureusement pour les fans du couple Anastasia-Christian, 50 nuances de Grey en fait partie.
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Le premier volet de la saga tire sa révérence sur Netflix
Avis aux aficionados du genre érotico-romantique, quelques jours seulement vous reste pour revisionner le premier opus de la saga 50 nuances de Grey. Le long-métrage ainsi que d'autres s'apprêtent à laisser place aux nouveaux arrivés sur Netflix.
Avant le 15 mai, vous aurez l'occasion de revoir le premier volet de la trilogie qui, il faut le dire, a ouvert la voie aux romans et adaptations cinématographiques de ce genre. Il met en scène Dakota Johnson dans la peau d'Anastasia Steele, une étudiante réservée qui se voit obliger d'aller interviewer l'un des plus riches hommes de Seattle, Christian Grey (Jamie Dornan).
Cet homme séduisant et sulfureux à la tête, succombe immédiatement au charme de la jeune fille. Ce qui a commencé comme une histoire érotique et sensuelle entre les deux protagonistes va se transformer peu à peu en une histoire d'amour. Entre passion, sensualité, conflits, 50 nuances de Grey nous entrainent dans de véritables montagnes russes.
Un film qui a divisé !
Bien que la saga ait été bien accueillie par le public, il a rapporté 570 millions de dollars. Malgré ces recettes impressionnantes, il essuie les mauvais avis de la critique. Un journaliste du site ComicBook sur le site Rotten Tomatoes a même écrit : « Cinquante nuances de Grey vous attirera par curiosité et peut-être par espoir d’un bon film, puis vous laissera vous demander pourquoi vous avez accepté une telle chose en premier lieu, un peu comme le personnage principal ».
Aussi, « Cinquante Nuances plus claires conclut sans surprise une trilogie cinématographique dont l'affligeante médiocrité rivalise avec celle des livres » lit-on dans le média suisse Le Temps.
« Au terme de cette interminable trilogie, qui cumule désormais un total de cent cinquante nuances de vide, ils ont dû échanger des kilomètres de dialogues nuls, et se papouiller artistiquement dans tous les sens sans faire vibrer les nôtres : l'alchimie d'une spatule et d'un verre à dents » estime l'hebdomadaire Télérama.
Les fans de la saga peuvent se consoler, car Cinquante Nuances plus sombres et Cinquante Nuances plus claires seront toujours présentes sur le catalogue de la plateforme.